Remettant en question l’interprétation d’Albert Mathiez sur l’Affaire Catherine Théot — perçue comme une machination destinée uniquement à nuire à Robespierre —, Michel Eude revient sur le contexte de la vigilance accrue contre les manifestations d’idolâtrie et d’illuminisme à travers le pays. Il détaille les arrestations et les investigations, qui se poursuivirent après que Robespierre n’ait fait surseoir, le 8 messidor an II, à la comparution devant le Tribunal révolutionnaire des accusés visés par le rapport de Vadier du 27 prairial.